"Écoute, tu es maintenant mariée dans une famille riche, sans soucis de nourriture et de vêtements. Mais ton père sera bientôt sans abri..." Père Mills pleura amèrement, "Saphir, je t'ai fait du tort, ainsi qu'à ta mère, dans le passé, mais tu ne peux pas me regarder mourir..."
"Tu peux nous faire du tort mais nous ne pouvons pas te faire du tort ?" Les yeux d'Éloïse rougirent instantanément, "Papa, ce sera la dernière fois que je t'appelle papa." Elle sortit alors quelques centaines de dollars en liquide de son portefeuille, les tendant à Père Mills, "C'est mon dernier acte de pitié."
Ayant dit ce qu'elle avait à dire, Éloïse se détourna.
N'ayant pas réussi à implorer sa fille, Père Mills se tourna désespérément vers Mère Mills : "Femme... Femme, s'il te plaît, sauve-moi".