GAHRYE
Alors que Gahrye sortait de la demeure temporaire qui lui avait été prêtée, il devait se forcer à marcher avec décontraction. Son sang vibrait. Tout en lui voulait courir, sprinter, crier et rire, libérant cette énergie nerveuse qui ne cessait de jaillir tandis que son cœur bondissait à l'idée qu'il allait retrouver sa compagne.
Il allait vraiment revenir. L'attente était terminée.