Tangen, qui avait été contraint de suivre la Première Armée, constata qu'il avait sérieusement sous-estimé la force de cette armée.
Durant la bataille, ils n'ont jamais combattu en corps à corps contre l'armée du Royaume de l'Aube, et Tangen n'a pas vu une pluie de flèches ni de scènes de combat brutales sur ce front long de 500 mètres. Les soldats de la Première Armée se contentaient de tirer sur leurs ennemis et les personnes dans l'armée du Royaume de l'Aube tombaient au son des fusils.
Cette scène lui semblait comme un spectacle tape-à-l'œil.
Mais les cris aigus et forts provenant de la route principale lui rappelaient qu'il s'agissait d'une bataille extrêmement féroce. Cette victoire facile de la Première Armée démontrait clairement sa force.
Il comprit finalement la méthode de combat de La Première Armée dont Nail avait parlé.