Tessy_Writes

SAUTER LES CHAPITRES NON NOMMÉS À CAUSE D'UN MÉLANGE...
"Pourquoi as-tu dû te marier avec moi si tu savais que tu allais me jeter!" Elle cria.
Il exhala doucement et la regarda, son visage neutre, ses yeux étonnamment calmes.
"C'est parce que, je devais sauver ma couronne et mon trône. Maintenant, laisse-moi vivre ma vie."
"Pourquoi ça devait être moi?" Elle porta sa main à son visage.
"Tu sais qu'elle est mon âme sœur destinée et je ne peux rien y faire."
Avec des larmes dans les yeux, elle se redressa lentement et acquiesça.
"Je signerai les papiers du divorce."
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Nyx est déchirée par le chagrin, lorsque Alpha Oberon, son mari décide de divorcer d'elle après avoir prétendu avoir trouvé son âme sœur destinée.
Elle quitte la meute par peur de retourner chez ses parents abusifs et cruels et élève son enfant toute seule.
Les années passent, la nouvelle Luna n'arrivant pas à produire d'héritier pour le royaume. Un voyant dit au roi qu'il existe un héritier qui a le sang du roi dans ses veines.
Que se passe-t-il quand il réalise que l'enfant vient de la femme même qu'il avait autrefois offensée ? Que va-t-il faire pour la convaincre de revenir afin de sauver son trône et son royaume?

L'héritier perdu depuis longtemps de l'Alpha

Nyx se remua inconfortablement sur sa chaise, « Quoi ? »


Elle cligna des yeux et avala, se sentant très mal à l'aise, « Amour... pourquoi... moi... quoi... comment ? »


« Tu es la femme la plus belle, Nyx. Tu as un cœur tellement gentil et une personnalité aussi. »


Elle leva les yeux au ciel, « Je suis toujours fâchée contre toi. »


« Et pourtant, tu m'as aidé à combattre Aegis, et j'ai récupéré mon trône. »


« J... devais le faire. Ce n'est pas bien que l'Alpha de sa meute vive dans... un cottage. »


Il toussota légèrement, « Je vivais avec toi... »


« Ok, ok, d'accord, j'ai compris, » elle soupira.


« Je t'aime vraiment Nyx, » sa voix était un murmure cette fois.


Elle avala, « Je... ne sais pas quoi dire, » elle détourna le regard, tentant de maintenir un visage impassible, mais son intérieur était en ébullition.


Il soupira, « Je comprends, c'est bon. Je peux attendre. »


Une seconde chance