Evergreen Tree

An Jing avait été transmigrée dans le corps d'une fille de ferme antique que tout le monde pouvait intimider.
Le jour où elle arriva, elle fut vendue. Bon, s'emparant du contrat de servitude, piétinant ses parents bons à rien, elle tenait sa liberté dans sa poigne, elle était maîtresse de son mariage, elle décidait de son avenir — personne ne pouvait la pointer du doigt !
An Jing claqua de manière assertive son contrat de servitude sur l'homme à côté d'elle, "Garde-le précieusement, désormais je t'appartiens."
L'homme : "......"
L'homme la couvrait d'attentions. Tout ce qu'elle voulait faire, elle le faisait, et ils s'associaient même pour tourmenter toute sorte de racailles. La vie du couple était incroyablement satisfaisante.
C’est juste que l’identité de l’homme...
(Une histoire gratifiante, avec des protagonistes masculins et féminins forts, choyage 1v1)

Vie paisible à la ferme

Li Wuyu fut la première à revenir à la réalité, prise entre la difficulté et le respect alors qu'elle disait, "Princesse, Wuyu ne peut pas faire ça."


"C'est assez simple; tu me regardes faire, comme ça..." An Jing continuait de biner, enseignant à Li Wuyu comment butter.


Li Wuyu apprenait avec le plus grand sérieux. Bien que ses gestes et son style ne fussent pas ceux d'une femme, elle connaissait également sa place : An Jing était noble, tandis qu'elle était modeste ; quoi que la Princesse, An Jing, lui demandât de faire, elle le ferait naturellement.


Mais la Princesse Linghe fixait encore la houe dans sa main, incapable de se ressaisir. C'était vraiment au-delà de ce qu'elle pouvait accepter. Elle était une Princesse de la Commanderie... une Princesse de la Commanderie... une Princesse de la Commanderie...


Chapitre 347 : Comment ose-t-elle ne pas leur faire honneur ?