Evergreen Tree

An Jing avait été transmigrée dans le corps d'une fille de ferme antique que tout le monde pouvait intimider.
Le jour où elle arriva, elle fut vendue. Bon, s'emparant du contrat de servitude, piétinant ses parents bons à rien, elle tenait sa liberté dans sa poigne, elle était maîtresse de son mariage, elle décidait de son avenir — personne ne pouvait la pointer du doigt !
An Jing claqua de manière assertive son contrat de servitude sur l'homme à côté d'elle, "Garde-le précieusement, désormais je t'appartiens."
L'homme : "......"
L'homme la couvrait d'attentions. Tout ce qu'elle voulait faire, elle le faisait, et ils s'associaient même pour tourmenter toute sorte de racailles. La vie du couple était incroyablement satisfaisante.
C’est juste que l’identité de l’homme...
(Une histoire gratifiante, avec des protagonistes masculins et féminins forts, choyage 1v1)

Vie paisible à la ferme

La princesse Pingjun ne pouvait plus le supporter, éclatant en larmes en s'exclamant, "Pourquoi la Princesse humilie-t-elle ma jeune fille comme cela, comment ma fille vivra-t-elle à l'avenir..."


Les spectateurs regardaient avec des yeux froids, tous pensant deux mots : Bien fait.


An Jing était l'incarnation du calme, souriant légèrement et disant, "Pourquoi la princesse Pingjun dirait-elle une telle chose, quand est-ce que cette Princesse a-t-elle jamais humiliée la Princesse de la Commanderie ? Tant de gens regardent et écoutent, est-ce que cette Princesse a jamais prononcé un mot d'humiliation ? La princesse Pingjun ne devrait pas accuser cette Princesse si légèrement."


Après réflexion, la princesse Pingjun se rendit compte que du début à la fin, An Jing n'avait effectivement rien dit d'humiliant ; c'était tout sa fille qui se discréditait elle-même, et elle se retrouva immédiatement à court de mots.


Puis elle éclata à nouveau en sanglots.


Chapitre 459 : L'admirer au point de se prosterner