Mo Hudie acquiesça.
Le président Liu poursuivit, "Pouvez-vous me dire quelles étaient vos intentions initiales en écrivant ce texte ?"
Mo Hudie répondit, "Quand j'écrivais cet article, j'étais gravement malade, tourmentée au quotidien. Le moment le plus relaxant de la journée était probablement quand j'écrivais. La réalité était trop cruelle, alors j'ai rempli mes mots avec toutes les belles choses. J'espère qu'il n'y a pas de maladie dans ce monde, et que tout le monde est heureux."
Dans les mots de Mo Hudie, il n'y avait pas une trace de négativité envers la vie.
Si l'on n'avait pas été témoin de sa situation de première main, il serait difficile de croire qu'une prose si résonnante venait en fait d'une petite fille alitée à cause d'une maladie.
Le président Liu fut pris de court.
À ce moment, on frappa à la porte. Le président Liu se leva, ajusta ses lunettes et dit, "Entrez."