Ferdinand caressa sa joue et lui donna un autre baiser. L'embrasser semblait effectivement l'apaiser. Il n'était pas aussi agacé qu'auparavant.
"Tu m'as tellement manqué après ces réunions horribles. Et encore plus après que ce salaud m'a parlé," Ferdinand l'enlaça et inspira l'odeur de ses cheveux.
"Il t'a dit autre chose ?" Arabella entoura le cou de son mari avec ses bras.
"Non," Ferdinand détourna le regard avant de lui répondre. Il mentit.
[Je devrai le tuer de mes propres mains un jour. Comment ose-t-il avoir de telles pensées lubriques envers ma pure épouse. Et il m'a même demandé s'il pouvait la prendre lui-même. Je vais le tuer !!!]
'Je ne suis plus pure pourtant.'
Arabella engloba le visage de Ferdinand avec ses deux mains pour qu'il la regarde dans les yeux. Elle ouvrit grand les yeux en voyant dans ceux de Ferdinand.