Aerlev

Être transmigré dans un roman, ce n'est pas si mal, vous savez - vous connaissez l'histoire, vous avez le pouvoir du futur dans votre main, vous connaissez toutes les clés cachées. Vous pourriez bien devenir l'être le plus puissant et omniscient de ce monde.
C'est le cas, si vous ne vous réveillez pas pendant l'épilogue.
Et pourtant, je me retrouve dans le corps d'un prêtre déchu à la fin du roman, un héros tragique dont le circuit de mana a été brisé lors de la dernière guerre, rejeté, noyé dans les dettes et destiné à mourir peu après.
Heureusement, je connais juste le remède.
Malheureusement, le remède était entre les mains d'un des Seigneurs Démon - vous savez, la race avec laquelle mon royaume vient de déclarer la guerre.
Me donnerait-il le remède si je le lui demandais poliment ? Il n'y a pas de mal à essayer, non ? Je mourrais de toute façon si je n'obtenais pas le remède.
« Bien sûr, mais vous devrez être ma mariée en échange, » dit le Seigneur Démon.
... hein ? Monsieur, vous savez que je suis (techniquement) un prêtre, n'est-ce pas ?

La fiancée du Seigneur Démon (BL)

Chaque race appartenant au Royaume de la Nature avait son propre style de gouvernance. Les elfes, par exemple, disposaient de deux royaumes avec deux rois, mais partageaient une loi commune. Les druides avaient autrefois un royaume qui gouvernait leurs tribus nomades, mais maintenant, c'était juste le Conseil des Chefs et des Anciens qui détenaient la loi et l'autorité.


Les drows, quant à eux, possédaient leur cité-état.


Chaque ville souterraine était dirigée par un maire, élu par les citoyens. Chaque ville avait ses propres lois et règles, bien qu'il y avait une liste générale de commandements à respecter pendant qu'ils établissaient la règle.


J'étais franchement surpris de trouver un système d'élection dans ce monde.


Il y a toutes sortes d'aventures dans le royaume de la nature