C'était vraiment un moment gênant, se retrouver figé avant même que la cérémonie ne commence. C'était presque comme un karma, pour toutes ces fois où Natha utilisait sa capacité à tirer la peur des gens et les paralysait sur le champ de bataille.
Mais que pouvait-il faire ?
C'était comme observer une promenade de rêve. Son passé, son présent, son futur ; tous convergeant vers une seule entité. Deux semaines--deux semaines qu'il avait passées loin de son bien-aimé, et il devait se retenir de défoncer la porte lorsqu'il entendit cette douce, douce voix.
Combien de fois avait-il passé à regarder simplement l'enregistrement et le tableau de sa chère ? Combien de nuits blanches avait-il enduré, fixant dans l'ombre du Repaire au lointain ?