Aerlev

Zein était un Guide renégat vivant dans la terre abandonnée de la zone rouge, guidant pour de l'argent et la survie. Jusqu'à ce que la guilde avec laquelle il travaillait ait causé une tragédie. Animé par le chagrin et la culpabilité, Zein est devenu un guide mercenaire à la frontière de la Deathzone interdite, travaillant comme un moine suicidaire. Un jour, un Esper arrogant est soudainement apparu et lui a dit, « Si tu es tellement acharné à mourir, pourquoi ne viendrais-tu pas avec moi dans la Zone de la Mort ? »
Une proposition étrange, un sourire nostalgique. Avait-il réellement déjà rencontré cet homme auparavant ?
En suivant cet homme dans la zone mortelle, Zein trouvera-t-il le répit qu'il cherche, ou sera-t-il englouti dans une tempête ?
Mais il n'y a pas de place pour l'amour dans la Zone de la Mort... n'est-ce pas ?
* * *
L'histoire se déroule dans un univers de Sentinelle, donc il y aura :
- Sentinelle (Esper) et Guide
- Donjon !
- Romance
- Action
- ...de l'érotisme ? ;)
C'est une histoire d'amour (en quelque sorte) enrobée de péripéties du système de donjon, avec des capacités, de l'action et tout ce qui s'ensuit

Il n'y a pas d'amour dans la Zone de la Mort (BL)

Quand il saisit un couteau à pain et le balança vers le cou de Han Joon, Radia était presque dans une rage délirante.


Ils avaient tissé des rêves de créer ensemble une guilde, un espace sûr pour eux, pour Bassena, pour Shin. Peu importait si personne d'autre ne devenait membre. Ils avaient travaillé sur cette promesse juste après avoir obtenu leur licence, en pillant des donjons pour avoir les qualifications nécessaires à la construction d'une guilde.


Combien de fois Radia avait-il parlé de l'avenir, et combien de fois Joon avait-il promis cet avenir ? Ils en parlaient encore une semaine avant que Han Joon annonce soudainement qu'il allait rejoindre l'armée.


Après trois ans de douces paroles, nuit après nuit de promesses, cette annonce prononcée de manière sèche et désinvolte ressemblait à une trahison ultime.


Chapitre 347. Une Étoile Gardienne