Aerlev

Zein était un Guide renégat vivant dans la terre abandonnée de la zone rouge, guidant pour de l'argent et la survie. Jusqu'à ce que la guilde avec laquelle il travaillait ait causé une tragédie. Animé par le chagrin et la culpabilité, Zein est devenu un guide mercenaire à la frontière de la Deathzone interdite, travaillant comme un moine suicidaire. Un jour, un Esper arrogant est soudainement apparu et lui a dit, « Si tu es tellement acharné à mourir, pourquoi ne viendrais-tu pas avec moi dans la Zone de la Mort ? »
Une proposition étrange, un sourire nostalgique. Avait-il réellement déjà rencontré cet homme auparavant ?
En suivant cet homme dans la zone mortelle, Zein trouvera-t-il le répit qu'il cherche, ou sera-t-il englouti dans une tempête ?
Mais il n'y a pas de place pour l'amour dans la Zone de la Mort... n'est-ce pas ?
* * *
L'histoire se déroule dans un univers de Sentinelle, donc il y aura :
- Sentinelle (Esper) et Guide
- Donjon !
- Romance
- Action
- ...de l'érotisme ? ;)
C'est une histoire d'amour (en quelque sorte) enrobée de péripéties du système de donjon, avec des capacités, de l'action et tout ce qui s'ensuit

Il n'y a pas d'amour dans la Zone de la Mort (BL)

La première chose que Bassena fit après la déclaration déconcertante de Zein fut de lui gifler la joue. Ce n'était pas léger, mais suffisamment fort pour que le son résonne dans la pièce.


"Wow, ça fait mal," murmura Bassena, mais contrairement à ses mots, il souriait si largement que les gens auraient pu croire qu'il venait de gagner à la loterie ou quelque chose du genre.


Mais c'était encore mieux que de gagner à la loterie.


Il regarda rapidement Zein et saisit le visage du guide. "Pas de retour en arrière."


L'esper insista de manière agressive, et Zein ne put que rire en réponse. Oui ; c'est son Bassena. Au lieu de répondre par des mots, Zein attira l'homme, qui était à présent techniquement plus âgé que lui, pour un baiser. Celui-ci était doux et tendre, imprégné d'amour à chaque toucher de leurs lèvres.


Chapitre 420. La qualité plutôt que la quantité