Une des habitudes de Zein après qu'ils aient eu les jumeaux était de se tenir sur le patio, fixant la vaste mer sans réfléchir pendant que les garçons faisaient leur sieste. Cela le fascinait toujours de voir à quel point le ciel et l'eau pouvaient être différents à chaque fois, et il se rappelait quelle bénédiction c'était d'avoir survécu à sa jeunesse.
Pouvoir simplement se tenir là à penser à rien d'autre qu'à ses garçons énergiques et à ce qu'il allait demander à son mari pour le dîner... le jeune Zein aurait ricané si quelqu'un lui avait jamais parlé d'une telle vie.
Il avait vraiment parcouru un long chemin.
Tout devenait encore plus parfait quand il sentait une paire de mains chaudes entourer sa taille, et une paire de lèvres encore plus chaudes toucher la peau de son cou. Ces baisers lents et languissants étaient aussi un privilège; une bénédiction dont il était reconnaissant chaque jour.