GinaStanley

Mauve Grey reçoit enfin le traitement qu'elle a toujours souhaité, son père l'appelle même ouvertement sa fille. La vie pourrait-elle être meilleure ?
Cependant, elle sait que c'est pour toutes les mauvaises raisons. Elle est enfin utile, n'étant plus simplement vue comme le péché du roi, une nuit de luxure avec elle comme rappel constant, surtout pour la reine qui ne peut pas la supporter.
Comme si se faire marier de force n'était pas assez mal, elle va épouser le maléfique Roi Vampire. L'espèce qui les a maintes fois mis en péril.
Toutefois, elle n'a aucun mot à dire dans cette affaire car cette union forcée est un signe que humains et vampires sont réellement en paix. Cependant, Jael est impitoyable et s'est avéré être bien plus que ce qu'elle aurait jamais pu imaginer.
Survivra-t-elle dans le monde des vampires alors que ceux-ci considèrent les humains comme guère meilleurs que des animaux ? Résistera-t-elle à être le nouveau jouet du Roi Vampire ?
La couverture n'est pas de moi, tous les crédits au propriétaire.

La Possession du Roi Vampire

"Si j'ai la maladie blanche. Il y a de grandes chances que je meure," murmura Mauve.


Elle observa la couleur s'évanouir du visage de Jael. Elle ne pensait pas qu'un vampire puisse devenir plus pâle, mais Jael lui prouva le contraire.


Cependant, il se reprit rapidement, son expression se durcissant. "Ça n'arrivera pas," dit-il sans hésitation, ne laissant pas de place à la discussion.


"Ouais," dit-elle, ses lèvres se transformant en une mince ligne. "Je me trompe probablement juste."


Jael ne dit rien à cela, mais plutôt, il tendit ses mains et attira Mauve entre ses jambes, la serrant contre lui.


Elle pressa son visage contre sa chemise et mordit l'intérieur de ses joues pour s'empêcher de pleurer.


Il la tint ainsi quelques secondes, la berçant sur ses jambes alors qu'elle était assise en travers.


"Je vais chercher Kieran pour vérifier. Il ne sait peut-être pas ce que c'est mais il pourrait avoir une idée et nous dire au moins quoi faire ensuite, jusqu'à ce que Jean arrive."


572. Espoir