Ton Jin.
Ces trois mots étaient quelque peu arrogants.
La voix était légère mais retentissante, résonnant dans les oreilles de chacun, refusant de se dissiper.
Cheveux noirs, yeux clairs.
Alors que des mèches sombres flottaient dans l'air, frôlant occasionnellement la peau immaculée et neigeuse, le contraste saisissant entre le noir et le blanc créait un impact visuel intense qui bouleversait les spectateurs jusqu'au plus profond de leur être.
Comme une montagne noble, infranchissable.
Yaoyao au-dessus de tout.
C'était une magnificence tout à fait naturelle, sans effort.
De l'intérieur vers l'extérieur, sans aucun besoin de prétention délibérée, il lui suffisait de rester là, ne rien faire, et elle constituait à elle seule une scène éblouissante.
En entendant cela, le visage de Zhang Linzi se durcit.
D'où venait ce jeune effronté, osant proférer de telles revendications audacieuses !