Chapitre 279 Serra le poing

Il fixait le prêtre devant lui comme s'il voulait lui percer un trou à travers le corps.

Le prêtre restait gelé sur place.

Après un long moment, Joseph serra son poing très fort.

Le visage du prêtre était plein d'impuissance. Il secoua la tête et dit : "C'est inutile. Le destin est le destin. Il ne peut pas être changé."

Le destin était le destin. Il ne pouvait pas être changé.

Qui a dit qu'il ne pouvait pas être changé ?

Joseph éclata soudain d'un rire. Son ton était toujours décontracté, mais il était chargé d'une aura malveillante et dominatrice.

"Si Dieu n'a pas pitié d'elle, alors j'en aurai."

"Si Dieu ne la protège pas, alors je le ferai."

"Tant que je suis là, cette prophétie ne se réalisera jamais."

Après cela, il se retourna et partit.

Le prêtre se tenait à l'ombre de l'arbre. Au bout d'un moment, il soupira et secoua la tête.

...

À côté de la piscine, Lucille venait de finir de se laver les mains.