Les yeux de Frankie étaient rouges d'avoir pleuré.
Il tendit la main pour aider Yvette à se lever et dit d'une voix rauque, "Mme Wolseley, M. Wolseley m'a dit que je dois vous ramener chez vous en sécurité."
Yvette repoussa violemment sa main et dit avec des lèvres tremblantes, "Sauvez-le, sauvez-le, Frankie !"
Le long silence la rendit complètement hystérique.
"Sauvez-le ! N'avez-vous pas déjà arrêté le minuteur de la bombe ? Le nombre en haut s'est arrêté !"
La voix d'Yvette était rauque et étranglée. Elle pleurait et criait, "Vous ... vous le sauvez."
Des larmes coulaient déjà sur le visage de Frankie. "Mme Wolseley, il n'y a pas de plan. Il n'y a pas de plan."
Il n'y avait pas de plan.
Ces mots étaient comme la foudre tombant du ciel, fendant impitoyablement un trou dans le cœur d'Yvette.
"Ah !"
Elle rugit et se précipita en avant comme une folle.
Frankie tenait Yvette fermement et sanglotait, "M. Wolseley, il ... il le sait. C'est son choix."