Ce que Yvette avait dit était vrai.
Il était plein de ses propres préoccupations. Ce n'est que s'il pouvait obtenir un retour qu'il dépensait.
De plus, le retour devait être satisfaisant.
Évidemment, ce n'était pas le cas. Puisqu'il n'y avait pas d'équilibre entre le donner et le prendre, il savait sagement ce qu'il devait faire.
Avec la moitié de son visage plongée dans l'obscurité, Charlie resta silencieux longtemps avant de dire, "Yvette, j'espère que tu es vivante. C'est vrai."
Après cela, il se retourna sans hésiter.
C'était semblable à quand il s'était retourné pour laisser sa mère folle, en train de mourir.
Était-il aussi calme qu'il en avait l'air ?
La réponse était définitivement non.
Même ainsi, il ne montrerait aucune faiblesse intérieure. Il se forçait à être indifférent. C'était la différence entre lui et les autres.
Cependant, il ne se rendit pas compte qu'une larme froide tomba sur le tapis sans faire de bruit.