CHAPITRE 143

P.O.V D'AMELIA

Quand nous sommes arrivés à la maison, personne n'était là. C'était complètement vide et je n'avais jamais imaginé être seule avec Kaden. C'était déjà assez difficile d'être dans la même voiture sans le toucher, mais être dans la même maison était un tout autre niveau car j'avais des souvenirs de Kaden autour de cette maison. J'avais des souvenirs de lui dans mon lit et dans mon espace et le voir assis confortablement sur le canapé du salon ravivait des souvenirs que j'avais tant essayé de réprimer.

À son crédit, il ne semblait pas aussi perturbé que moi. Il avait une jambe croisée sur l'autre et il buvait toujours lentement son café du café. Je n'étais pas sûre d'être soulagée ou agacée qu'il ne semble pas aussi perturbé que moi. Il avait promis de ne pas faire plus que je ne pourrais supporter alors peut-être qu'il respectait simplement sa parole.