Cette tension libidineuse vertigineuse qui s'éveille entre nous chaque fois que nous entrons en contact, peut-il la ressentir également ? L'immobilise-t-elle comme elle le fait pour moi ?
Le bout de son nez effleure doucement la nuque de mon cou alors qu'il s'imbibe de mon parfum, pourtant je ne peux rien voir, je peux seulement ressentir et cela rend la chose encore plus savoureuse. La façon dont sa prise sur ma taille se durcit, la façon dont sa respiration ralentit de manière perverse et la façon dont il pousse sensuellement ses hanches contre les miennes en synchronisation avec les galops d'Asger. Je suis entrée à nouveau sciemment dans l'antre de la bête, je serai dévorée.
"P-Phobos," je gémis doucement. Je souhaitais profiter de la chevauchée mais ceci est plus agréable. Nos corps s'entrechoquent délicieusement, ses mains s'attardant sur ma chair frémissante. Extase. Il me fait me sentir coquine, comme si j'étais une sirène immorale attirant son mâle.