AngelLily

Il était incapable d'avoir une âme soeur ni de tomber amoureux depuis l'instant où il est devenu le seul alpha suprême existant. Il régnait sur le monde, il les régnait, tout était dans la paume de ses mains et tout lui appartenait.
Pourtant, il ne pouvait avoir une chose. 'Une compagne'
Mais lui, avec elle, avait ressenti une étincelle - une toute petite étincelle. Elle s'était enflammée comme une flamme, et bien que ce soit trop peu pour confirmer s'ils étaient des compagnons, qui s'en souciait ? Lui pas ! Cette infime étincelle suffisait !
Et lui, Valeric Jones, avait trouvé ce qu'il cherchait.
Et il était obsédé !
Peu importe qu'il était incapable de tomber amoureux ? Qu'il était un homme incapable de ressentir certaines émotions ?
Non !
Elle n'appartenait à personne dès l'instant où il a posé les yeux sur elle, et il la ferait sienne ! Stella Ferguson était enfermée dans le creux de ses mains : son sourire pour lui, ses mots pour lui, son temps pour lui, et son amour... Seulement pour lui.
Elle était l'abri et le salut qu'il recherchait, la tendresse qu'il désirait. Pourtant, la vraie question était… Stella Ferguson pourrait-elle jamais aimer l'homme à qui elle a été vendue ? Un homme qu'elle détestait des tréfonds de son cœur ? Un homme qu'elle ne pouvait absolument pas supporter !
Et Valeric Jones lui-même serait-il jamais capable de l'aimer malgré son incapacité et le désir qu'il éprouve pour elle ?

Vendue au redoutable Alpha

Maintenant, cela commençait vraiment à l'énerver car pendant quatre jours de plus, les choses se sont poursuivies ainsi et rien n'a changé. Il ne lui a pas adressé un mot, ils se voyaient à peine et il n'a jamais dormi une seule fois dans la même pièce qu'elle.


Quel était son problème ? Elle ne parvenait pas à le comprendre. Il la forçait à dormir dans la même pièce que lui, et maintenant, il ne s'en donnait même plus la peine. Il la forçait à dîner avec lui, et maintenant il mange seul même avant qu'elle n'essaie.


Il s'assurait toujours de la prévenir lorsqu'il partait, et maintenant, c'était presque comme s'il ne se souciait plus. Comment quelqu'un pourrait-il faire un revirement à trois cent soixante degrés aussi facilement ?


Cela la frustrait plus qu'elle ne pouvait supporter, et elle se retrouvait à se gratter les cheveux si énergiquement qu'il semblait qu'elle pourrait arracher quelques mèches.


Que voyait-il en elle ?