AngelLily

Il était incapable d'avoir une âme soeur ni de tomber amoureux depuis l'instant où il est devenu le seul alpha suprême existant. Il régnait sur le monde, il les régnait, tout était dans la paume de ses mains et tout lui appartenait.
Pourtant, il ne pouvait avoir une chose. 'Une compagne'
Mais lui, avec elle, avait ressenti une étincelle - une toute petite étincelle. Elle s'était enflammée comme une flamme, et bien que ce soit trop peu pour confirmer s'ils étaient des compagnons, qui s'en souciait ? Lui pas ! Cette infime étincelle suffisait !
Et lui, Valeric Jones, avait trouvé ce qu'il cherchait.
Et il était obsédé !
Peu importe qu'il était incapable de tomber amoureux ? Qu'il était un homme incapable de ressentir certaines émotions ?
Non !
Elle n'appartenait à personne dès l'instant où il a posé les yeux sur elle, et il la ferait sienne ! Stella Ferguson était enfermée dans le creux de ses mains : son sourire pour lui, ses mots pour lui, son temps pour lui, et son amour... Seulement pour lui.
Elle était l'abri et le salut qu'il recherchait, la tendresse qu'il désirait. Pourtant, la vraie question était… Stella Ferguson pourrait-elle jamais aimer l'homme à qui elle a été vendue ? Un homme qu'elle détestait des tréfonds de son cœur ? Un homme qu'elle ne pouvait absolument pas supporter !
Et Valeric Jones lui-même serait-il jamais capable de l'aimer malgré son incapacité et le désir qu'il éprouve pour elle ?

Vendue au redoutable Alpha

NIX, ses épouses, ses enfants, Jasmine et Diego se tenaient dehors à la porte avec un visage empli de sourires. "Nous partons maintenant."


Jasmine fit un pas vers Stella et se hissa légèrement sur la pointe des pieds pour chuchoter, "Si tu as besoin d'une partenaire de potins, appelle-moi."


"Ou attends ! Donne-moi ton téléphone !" Elle remua les doigts, et bien que Stella fût confuse, elle lui passa son téléphone. Jasmine y inscrivit son numéro et le lui rendit. "Il suffit de m'appeler." Son rire était si chaleureusement accueillant, et Stella n'était pas sûre de l'instant où elle avait rayonné, souriant en retour. "Merci."


Elle déplaça son attention vers les deux petites jumelles qui la fixaient intensément, et avant même qu'elle puisse ouvrir la bouche pour parler, elles se précipitèrent vers elle, l'enlaçant trop affectueusement comme si elles la connaissaient depuis toujours. "Quand est-ce qu'on te reverra, tata ?"


Le détestez-vous ?