AngelLily

Il était incapable d'avoir une âme soeur ni de tomber amoureux depuis l'instant où il est devenu le seul alpha suprême existant. Il régnait sur le monde, il les régnait, tout était dans la paume de ses mains et tout lui appartenait.
Pourtant, il ne pouvait avoir une chose. 'Une compagne'
Mais lui, avec elle, avait ressenti une étincelle - une toute petite étincelle. Elle s'était enflammée comme une flamme, et bien que ce soit trop peu pour confirmer s'ils étaient des compagnons, qui s'en souciait ? Lui pas ! Cette infime étincelle suffisait !
Et lui, Valeric Jones, avait trouvé ce qu'il cherchait.
Et il était obsédé !
Peu importe qu'il était incapable de tomber amoureux ? Qu'il était un homme incapable de ressentir certaines émotions ?
Non !
Elle n'appartenait à personne dès l'instant où il a posé les yeux sur elle, et il la ferait sienne ! Stella Ferguson était enfermée dans le creux de ses mains : son sourire pour lui, ses mots pour lui, son temps pour lui, et son amour... Seulement pour lui.
Elle était l'abri et le salut qu'il recherchait, la tendresse qu'il désirait. Pourtant, la vraie question était… Stella Ferguson pourrait-elle jamais aimer l'homme à qui elle a été vendue ? Un homme qu'elle détestait des tréfonds de son cœur ? Un homme qu'elle ne pouvait absolument pas supporter !
Et Valeric Jones lui-même serait-il jamais capable de l'aimer malgré son incapacité et le désir qu'il éprouve pour elle ?

Vendue au redoutable Alpha

"Tu vas vraiment regretter de me parler comme ça. Tu me rends encore plus haineux envers toi que je le suis déjà." Diego enfonça sa main plus profondément dans sa gorge avant de reculer et de le libérer.


Alex toussa, frottant sa main sur le bleu autour de son cou. "Je me fiche que tu me haïsses ou non. Le sentiment est réciproque." Il leva la tête pour voir l'homme s'éloigner de lui et, encore plus énervé par cela, il le poursuivit et se plaça devant lui, bloquant son chemin. "Écoute, morveux, si toi et moi devons vivre dans cette maison, il y a des règles à établir, pigé."


"Et c'est qui qui va les établir ? Toi ? Qu'est-ce que tu es, ma mère ? J'ai l'air d'un enfant que tu peux ordonner juste parce que tu en as envie." Diego continua à avancer, l'intimidant, tandis que l'homme reculait, gardant toujours ce regard imperturbable sur son visage. "Si tu en as marre de vivre ici, la porte est ouverte, fais-toi plaisir pour sortir."


Excuse