Chapitre 340 Le Ciel Fendu (2/3)

Observant Mei Yixiang prendre la fuite timidement, Zhou Heng ne put s'empêcher d'éclater de rire, savourant le plaisir coupable de taquiner la jeune fille !

"Espèce de gros pervers !" Une voix douce mais empreinte de noblesse retentit, enivrant quiconque l'entendait et les incitant à s'agenouiller à ses pieds, offrant leur loyauté.

Personne d'autre dans ce monde ne pouvait produire un tel effet avec juste sa voix, sauf Huo Tian.

Zhou Heng tourna la tête et vit, en effet, c'était la Demoiselle Céleste Sans Pareille, ses pieds nus glissant vers lui, sa chevelure noire flottant comme des vagues dans la brise légère—sa robe blanche virevoltant, vraiment comme une Fée descendant dans le monde mortel, comme si elle pouvait s'envoler avec le vent.

Cette femme extrêmement belle était vraiment un spectacle dont on ne se lassait jamais !