Chapitre 492 Une période d'affaires mondaines (1/3)

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La fille en robe verte haletait lourdement, mais elle se sentit enfin soulagée en atteignant cet endroit. Juste avant, elle courait tellement désespérément que son cœur semblait prêt à bondir hors de sa gorge. Maintenant qu'elle relaxait son esprit, elle faillit s'asseoir d'un coup.

Elle s'appuya sur ses genoux, la sueur sur son front coulant comme de l'eau de pluie, imbibant instantanément ses vêtements, qui collaient alors étroitement à son corps gracieux.

C'était le plein été, et elle portait déjà peu de vêtements à la base. Maintenant, avec ses vêtements trempés, sa silhouette voluptueuse se dessinait parfaitement—ses seins fiers se dressaient, exquis de forme, et en dessous se trouvait sa taille fine, tenant dans une poignée, suivie de ses fesses légèrement relevées, pas grandes, mais rondes et pleines comme des pêches, infiniment séduisantes !

Ses jambes étaient fines et longues, ses pieds délicats, et ses chevilles légèrement visibles blanches comme du jade !