Chapitre 108 : Lu Hongtu réalise des dessins d'après le poème

Dans la brume, le son d'un cor se portait faiblement.

Le lourd bruit des sabots de chevaux approchait progressivement, s'infiltrant à travers le brouillard dense et se répandant dans la forêt.

L'armée avançait lentement à travers l'épais brouillard, l'armure de fer émettait une lumière froide, obscurcie par la brume en un flou.

Les cultivateurs marchaient à des pas réguliers et ordonnés, le son du fer et de la boue se frottant résonnait à travers le brouillard. Les chevaux de guerre baissaient la tête en avançant, leur souffle exhalant de la brume blanche, comme une illusion à travers l'épais brouillard.

Cinq armées coordonnées entre elles, avançaient à travers les montagnes imposantes, tel un serpent géant lent et lourd se faufilant à travers la brume.

Ce n'est qu'en après-midi que le brouillard dense se dispersa graduellement.

La vitesse de toute l'armée augmenta en conséquence.