Helanie :
Et sur l'autre photo, mon visage était net, avec un p*** forcé dans ma bouche. Mais cela ne semblerait pas forcé sur une photo si on essayait de modifier le contraste. Même quand je pleure visiblement et que je suis dévastée, je ne voudrais toujours pas que mes photos se répandent.
Et puis il y en avait tellement avec tout mon corps et mes parties intimes exposés tandis que leurs identités étaient habilement cachées. Il y avait aussi quelques courtes vidéos—plutôt comme des gifs qui échouaient à montrer la coercition forcée, mais elles étaient suffisantes pour me détruire.
Enfin, un message texte qui me ferait paraître encore pire. Et je ne pourrais pas montrer le texte à qui que ce soit sans qu'ils pensent que j'en faisais partie.
Inconnu : On s'est bien amusés ce soir-là. On peut te rebooker, n'est-ce pas ? Tes tarifs ont-ils augmenté, ou sont-ils toujours les mêmes ?