Chapitre 486

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Mais bientôt, Tante Liu réagit, arrêta ses mouvements et me regarda avec férocité. "Xiao Xu, qu'est-ce que tu fais ?"

"Dépêche-toi d'enlever ta main."

Elle semblait un peu en colère, mais sa voix ne portait pas un ton de reproche, plutôt, elle était remplie de timidité et de panique.

"Je suis désolé, Tante, je... je n'ai pas pu m'en empêcher."

À ce moment, j'étais si excité que je ne pouvais plus me soucier de rien d'autre, je ne pouvais tout simplement pas m'obliger à lâcher prise.

Je serrai même délibérément un peu plus fort.

Ce contact confortable, il faisait trembler tout mon corps de plaisir.

"Xiao Xu, arrête... arrête ça, non, ne fais pas ça." Elle geignait, essayant de me repousser.

Mais parce que son corps était mou, elle ne pouvait rassembler aucune force, alors au lieu de me repousser, cela ressemblait plus aux taquineries et chamailleries de jeunes amants.