À cet instant, dans le manoir de la famille Ye, dix cercueils contenaient tous des descendants directs de la famille Ye. Mais Ye Beirong était assis dans la salle de réunion avec un visage morne, sans rien dire.
Les mots de ces gens qui étaient venus résonnaient encore à ses oreilles : "Ye Beirong, le premier jour, c'est 10 personnes, le second jour ce sera 50. Si nous ne voyons pas Ye Mo d'ici le troisième jour, la famille Ye disparaîtra de Pékin."
C'était le deuxième jour, bien qu'il y ait eu beaucoup de policiers anti-émeute ici, personne n'osait ouvrir le feu. Personne ne savait quand ils apparaîtraient ni où. On pouvait dire qu'ils avaient reçu l'ordre de protéger la famille Ye mais pas de tuer les coupables.