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Guzi a transmigré dans un roman et est devenue un personnage dans une histoire sur une riche héritière vraie et fausse. 

Tandis que d'autres qui transmigrent dans des romans deviennent la véritable héritière, elle est devenue la fausse héritière. Pour aggraver les choses, elle et la véritable héritière sont toutes deux fiancées.

Elle était fiancée au fils d'un chef militaire, tandis que la véritable héritière était fiancée à un homme divorcé avec trois enfants de son mariage précédent.

Les parents de Guzi, soucieux de la véritable héritière, décident de faire épouser Guzi à sa place. Dans le livre, le personnage "Guzi" était furieux et a tenté de se suicider mais a échoué.

En conséquence, elle a perdu l'amour et la faveur de ses parents. Après avoir épousé l'homme divorcé,

"Guzi" l'a blâmé pour tous les méfaits et a maltraité ses enfants. Finalement, il ne pouvait plus tolérer ses actions et l'a divorcée. "Guzi" deviendrait une mendiante démunie et mourrait misérablement dans la rue.

Après avoir transigré dans le livre, Guzi a quitté sa famille et a épousé l'homme divorcé. Lorsqu'elle a affronté l'homme et ses trois enfants, Guzi croyait que le propriétaire original de son corps avait fait une terrible erreur.

C'était une expérience sans douleur d'être mère sans éprouver de difficultés !

D'un autre côté, la véritable héritière devait s'occuper de l'enfant illégitime de son mari et se battre pour les biens familiaux. Elle mènerait une vie quotidienne pleine de difficultés.

La véritable héritière se consolait en pensant qu'elle était toujours mieux lotie que Guzi. Elle devait élever l'enfant de quelqu'un d'autre et s'occuper d'un vieil homme.

Cependant, un jour, elle voit Guzi sortir d'une voiture de luxe avec un ventre proéminent, soutenue par l'homme le plus riche de la ville.

L'air contrarié, Guzi est sortie de la voiture et a dit : "Nous avions convenu de ne pas avoir d'enfants !"

L'homme à côté d'elle a répondu tendrement : "Désolé, ma faute."

Renaître en tant que Fausse Héritière Epousant le Magnat

Su Shen tenait fermement la main de Gu Zi alors qu'il insistait pour remettre l'enveloppe rouge à Papa Lin. "C'est le cadeau de retour de mille yuan, il devrait être donné. Gu Zi ne peut pas accepter cet argent."


Gu Zi acquiesça et dit à ses parents : "Vous devriez l'accepter tous les deux."


Voyant l'insistance de leur fille et de leur gendre, M. et Mme Lin acceptèrent l'argent.


Les invités environnants étaient stupéfaits ; non seulement ils ont rendu un cadeau important, mais ils ont aussi rendu mille yuan !


Mon Dieu, quelles bonnes actions la famille Lin avait-elle faites dans leurs vies passées pour mériter une fille et un gendre aussi merveilleux que Gu Zi et Su Shen ?


Au milieu de l'envie, les invités apprécièrent le banquet de retour à la maison, et après le festin, ils se dispersèrent, laissant les alentours de la famille Lin progressivement calmes.


Les enfants les plus chanceux