CHAPITRE 7. Pure et complète béatitude !

« Qu'est-ce qui s'est passé, Giselle ? Es-tu sûre que tu vas bien ? » demanda ma mère d'un ton inquiet.

J'étais si embarrassée d'avoir deux doigts en moi en ce moment, pendant le petit-déjeuner, mais pour être honnête, j'aimais ça plus que je n'avais peur que quelqu'un découvre notre interaction coquine. J'aimais le frisson que cela apportait.

L'attention du reste de la famille n'empêchait pas Kevin de pomper son doigt ou Stefan de frotter mon clitoris. En tout cas, Kevin commençait à pomper son doigt plus vite tandis que Stefan mettait plus de pression sur mon clitoris et commençait à le frotter avec plus de force.

« Rien. Je pensais avoir vu un cafard » dis-je la première chose qui me vint à l'esprit.

Ma voix ressemblait toujours à un gémissement étouffé mais tout le monde était convaincu que la raison de ma voix était mon cafard imaginaire.