Xiaoxiaohe

Toute la ville de Yong savait que Mlle Su aînée de la famille Su avait une nature malveillante et une réputation scandaleuse, se comportant de manière extravagante jour après jour, au grand dégoût de sa famille.
Père indigne : "Je n'ai certainement pas une telle fille ; ma seule fille est Xinyan."
Vieille dame : "Chose sans honte, tu as complètement jeté la face de la famille Su."
Jeune sœur fleur blanche : "Je suis désolée, Sœur, nous n'avons jamais été du même monde."
Vauriens : "Déchets qui ne peuvent pas se montrer en public, les gens de basse condition ne méritent pas d'entrer dans notre cercle."
Cependant...
Avant que Mlle Su aînée n'ait exprimé son opinion, divers chefs n'ont plus pu se retenir.
Un certain Empereur du film : "S'en prendre à ma patronne—vous cherchez des ennuis, n'est-ce pas ?"
Une certaine Association : "Monsieur le Président, s'il vous plaît, donnez vos instructions, faillite ou bannissement ?"
Un certain Groupe : "Qu'est-ce que la famille Su? Même pas digne de porter les chaussures de la BOSS."
Gros bonnets de divers secteurs : "Bonjour, belle-sœur !"
Su Ran : "?"
Alors que le monde extérieur s'émerveillait des identités de plus en plus révélées de Mlle Su aînée, l'homme légendaire pour son mystère et sa retenue l'enlève dans ses bras.
"Petite ancêtre, y a-t-il une identité de toi que je ne connais pas ?" la voix de l'homme était séduisante, paresseuse et désinvolte.
Sœur Ran a légèrement courbé ses lèvres rouges, souriant brillamment : "Ta femme."

Les Identités Secrètes de l'Héritière Rejetée

Pendant un moment, Gu Heng eut l'impression de ne plus pouvoir respirer, et même sa poitrine commença à lui faire mal.


"Frère Heng, penses-tu que nous avons fait quelque chose de mal..."


Une voix étouffée et triste venait d'à côté de lui.


"Ma sœur... elle n'était pas comme ça avant. Je ne sais pas quand cela a commencé, mais elle s'est de plus en plus éloignée de moi. Bien qu'elle ait semblé difficile à vivre par le passé, je sais qu'elle avait encore un cœur bon. Mais maintenant... la voir comme ça me bouleverse vraiment. Que devrais-je faire pour que ma sœur se sente mieux... Que faudra-t-il pour qu'elle me pardonne..."


La voix de Xinyan était douce et basse, avec un léger tremblement, amère et impuissante, ce qui faisait mal au cœur de Gu Heng.


Il tendit les bras pour l'embrasser, ses longs doigts soulevant son menton délicat, essuyant les larmes du coin de ses yeux, et déposant un baiser plein de pitié et de douleur sur son front.


039 Ai-je fait quelque chose de mal...