C'est presque la tombée de la nuit, et nous avons à peine couvert la plus petite fraction de la montagne. Alec s'arrête devant moi, « Tu ne pourras pas voir le sceptre dans le noir. Tu as aussi besoin de manger et de te reposer, et moi, je dois aussi me nourrir. Faisons d'abord un feu pour te garder au chaud toute la nuit », dit-il.
Je ramasse les brindilles, et Alec trouve quelques petites bûches. Dès que nous les empilons, je pointe mon doigt pour lancer le sort de feu, mais une grande rafale de flammes passe devant moi et l'enflamme. Je me retourne et trouve Vermillion assis comme un chien, fixant le feu.
« Merci », je ris.