Mu Yiyi

Riche, puissant et beau; Gu Jingze est la crème de la crème dans tout le pays. Chaque homme veut être lui et chaque femme veut être avec lui. Sa vie est parfaite... sauf qu'il a un tout petit secret qui l'empêche de se rapprocher de toute femme — une impuissance apparente.

C'est-à-dire, jusqu'à ce qu'il se réveille un jour dans le lit avec un étranger total. La prochaine chose qu'il sait, c'est qu'il est forcé de se marier avec cet étranger; une femme fougueuse et bruyante du nom de Lin Che.

Lin Che est une fille moyenne dont le seul objectif est de devenir une actrice à succès. Ostracisée par sa famille et forcée de devenir indépendante, elle échafaude un plan pour atteindre son but. Mais son plan échoue et elle finit par épouser ce froid et apparemment sans cœur Gu Jingze. Non seulement elle doit maintenant trouver sa place dans la haute société, où des femmes jalouses et des complots sournois abondent, mais aussi jongler avec sa nouvelle carrière.

Deux étrangers sous un même toit : Au départ, ils conviennent de rester en dehors de la vie de l'autre, mais il réussit toujours à apparaître lors de ses moments de crise. Lentement et involontairement, Lin Che commence à avoir du mal à imaginer un avenir sans lui. Leur relation va-t-elle s'épanouir, ou leur mariage est-il destiné à demeurer un simple contrat ?

La Belle Épouse du Mariage Tourbillonnant

Lin Che lança sans réfléchir et elle commençait à le regretter. Pourquoi a-t-elle dû évoquer Mo Huiling maintenant ?


Cependant, Gu Jingze réfléchit sérieusement et dit à Lin Che, "En fait, je n'ai jamais pensé à vouloir faire quoi que ce soit avec Huiling quand j'étais avec elle. Je me sentais même bizarre de tenir sa main. Le plus que nous ayons fait était juste de se donner quelques bécots. C'était généralement elle qui faisait le premier pas mais ma maladie s'aggravait sérieusement."


Gu Jingze dit étrangement, "Je ne crois pas avoir jamais eu de sentiments pour elle et je n'ai jamais voulu lui faire quoi que ce soit. Quand j'étais avec elle, je pensais toujours que même si je ne pouvais pas la toucher pour le reste de ma vie, cela irait. Je n'ai jamais eu le désir de l'avoir."


Lin Che pencha la tête et regarda Gu Jingze, "Donc tu dis que… envers elle… tu n'as jamais eu ce genre de sentiment."


M. le Président, s'il vous plaît, laissez-moi partir