Chapitre 138 : Le Grand Dieu Arrive !

Le corps de Jiang Man se raidit et elle resta hébétée pendant un bon moment.

Elle avait même l'impression que sa tête explosait, comme si elle s'était écrasée.

Dès son jeune âge, elle avait connu toutes les vicissitudes du monde, la chaleur et la froideur de l'humanité, abandonnée par ses parents biologiques, puis adoptée et aimée par son père adoptif comme sa propre fille.

En grandissant, elle n'avait pas manqué d'amis; elle était devenue le trésor que son père adoptif chérissait au creux de ses mains, la jeune dame du conglomérat, où ses souhaits de vent ou de pluie étaient instantanément exaucés.

Pourtant, même ainsi, c'était la première fois qu'elle ressentait un amour aussi sincère et fervent.

L'homme exprimait son amour débordant verbalement, testant follement les limites de la retenue.

Il était sobrement conscient, réprimant follement ses sentiments, oscillant entre la décence publique et les sentiments authentiques.