« 122 Une lettre d'elle »

POV d'Albert

Anxiété, colère, inquiétude.

Ces derniers jours, une myriade d'émotions négatives s'étaient accumulées dans ma poitrine, rendant ma respiration difficile. Mais je savais que je ne pouvais pas faillir ; j'avais une mission pour sauver Delia.

Après avoir ramené la Delia inconsciente chez le pack house de son père et dans la salle médicale, je l'ai gardée isolée. Depuis ces derniers jours, je lui transfusais mon propre sang, espérant qu'elle recouvre conscience le plus vite possible.

Au début, Delia était d'une pâleur mortelle et respirait à peine, mais avec les transfusions continues, son état s'était stabilisé, et sa couleur s'était légèrement améliorée.

Après m'être assuré que son corps pouvait le supporter, avec l'aide d'un docteur, j'ai retiré le couteau qui était planté en elle.