112 Joyeuse Renaissance

Point de vue de Blayze

"Est-elle morte ?" Une femme avec un masque sur le visage et de terribles brûlures sur le corps jeta un coup d'œil à Azariah.

"Non. Le vin que j'ai donné à M. Windsor n'est pas si toxique. Je lui ai donné l'antidote. Elle ne mourra pas." Je la regardais et essuyais patiemment sa sueur.

La femme masquée laissa échapper un ricanement de mépris. "Elle ne t'a jamais vraiment regardé. Tu n'es qu'un outil pour obtenir ce qu'elle veut. Tu as fait plus pour elle qu'un partenariat."

Je ne parlais pas, mais éventais doucement Azariah.

"Quel pauvre idiot. Les hommes sont une aubaine. Plus une femme lui est distante, plus il devient fanatique. Mais quand la femme était chaleureuse avec lui, il se refroidissait. Les femmes ne devraient pas être trop gentilles avec les hommes parce que c'est dans leur nature d'aimer ce qu'ils ne peuvent pas avoir."

Elle donna un coup de pied à la chaise sur le sol. "J'ai faim."