Chapitre 8

Un réveil presque en sursaut mais calmement, il se redresse. Il commença sa journée comme il en a pris l'habitude avant de descendre et de voir les deux vieux debout, l'attendant touts souriants. À les regarder, il compris de suite ce qui l'attendait. Un entraînement comme il n'en a jamais eues. Il pense du moins, qu'il va souffrir.

– Tu pense que tu vas souffrir petiot, se moquât le mage. On n'a même pas encore bouger !

– J'imagine pas quand on commencera, répliqua la cible des deux regards.

– Allons, regarde ce que l'on fera avant de te faire des idées. Sortant d'abord. Faudrait pas effrayer les citadins tout de même, fini-t-il avec un petit rire moqueur.

À la sortie, ils se dirigèrent vers la forêt, pendant qu'il subissait un explication clair des conditions dans lequel ils se trouvera. Il commencera par des vérifications de ses capacités.

– Bien. Prend donc un pierre et montre nous comment tu tue tes sangliers, demanda la déesse de le lame.

Aaron s'exécuta, pris deux pierres, le frappas pour en fait une tranchante, et la lança comme il en a pris l'habitude sur un arbre mi-épais. Presque tout le tronc fus traversé en un instant, la pointe du caillou dépassant d'un demi millimètre la souche de l'autre côté. Le trou formé était de quelques 3 centimètre de diamètre et au caillou, elle n'était plus que de 1 et demi. Les deux entraîneurs souriants et semblants réfléchir finissent par dire qu'avec encore plus d'entraînement, la force du lancé pourrait être perfectionnée et avec de la magie, il pourrait être plus tranchant.

Mais pour la magie, il avait tout essayer mais rien ne se formait. Le Mage explique donc ce qui semblait facile, mais qui a fini par paraître difficile :

– Le principe magique en ce monde est complexe dans la compréhension, mais simple dans l'application une fois la manière comprise. Plusieurs prérequis sont présent dans le contrôle magique. En premier lieux, la connaissance des matières sont un minimums afin de réaliser le sort que l'ont souhaite. Par exemple, pour un sort de feu, il faut savoir qu'il faut un combustible, une source de chaleur et un comburant. Une fois cela compris, on peut créer du feu grâce à, à peu près, tout. Pareil pour l'eau. Il suffit de savoir que l'eau est une composition spécifique à une température spécifique pour pouvoir la créer. La variation de chaleur est, si tu te demande, dépendante de notre volonté et varie en utilisant la force de notre corps même. Si aucune variation de température n'est nécessaire, alors on peut utiliser cette magie presque à l'infini.

– Donc par exemple, si un mage d'eau et un mage de feu se battent en milieu tempéré ou aquatique, le mage de feu est désavantagé, tandis que si le combat se fait en milieu aride voir brûlant, le mage d'eau sera le défavorisé, supposa le jeune apprentis, car l'un consommera plus de magie que l'autre.

– Parfaitement, fît le professeur, qui acquiesçât. Mais sa ne suffit pas. Aussi longtemps que le Mage peut courir à fond, Aussi longtemps il peut forcer sur sa magie. L'endurance est la source du pouvoir. Tu sais donc ce qu'il te reste à faire si tu veux avoir une capacité de magie suffisante.

À ces mots, Aaron fît une grimace de peur et d'ennuis. Il pensait que souffrir, il allait aussi courir. Et sans aucun doute pas qu'un peu.

– Mais ne t'en fait pas, continua-t-il, ta capacité magique est déjà excellente comme tu as travailler sans relâche ! Sa se sent. Bon, revenons-en au fait. Par rapport à la puissance magique, plus la connaissance physique et la matière utilisée est efficace, plus la force du pouvoir est important. Et tu ne peux pas uniquement utiliser cette puissance surnaturelle simplement à distance, car cela te rendrait vulnérable au corps à corps. C'est pourquoi tu peux aussi utiliser cette force pour les combats rapprochés et la défense. Par exemple en te faisant une armure en la matière que tu souhaite !

Cette dernière phrase fût suivie d'une démonstration. Un brout d'arbre et un bout de terre se déplacèrent et formèrent des armures flexibles autour des bras d'Endras.

De suite, Aaron décidât de s'essayer. Il imagina, les yeux ouverts, forcer la terre à former un anneaux. Cela étonnât celui qui était sensé l'enseigner, car la terre c'est exécutée instantanément. Il décidât de tenter de changer les molécules de terre en molécules de carbone. Rien ne bouge. Il décide donc de s'attaquer aux atomes et de s'y attaquer. Il transforma les atomes en carbones, réuni les protons et neutron de façon de faire des pertes, plus de carbone, puis compactât le tout. Il prît sur lui-même pour faire monter la température et la pression autour de la matière, compacta encore plus et refit la même chose durant un quart d'heure, sans que les aubergistes ne sache que faire, bouche béante, grande ouverte, ils ne pouvaient que regarder.

Au bout du processus, le jeune mage créa sont diamant. Un diamant en annaux d'une clarté rare, d'une couleur rouge vive et presque transparente. Il eût fallu un moment pour que le choque passe au deux compères pour réaliser ce qui vient de se passer. Mais lors de leurs retour, le garçon était allongé au sol, la pierre tenue dans ses mains. « Un prodige » se disaient-ils.