Chapitre 10

Il se redressa, regarda autour de lui, ne vit rien, se leva, écouta les oiseaux chanter en ouvrant la fenêtre et se mit en chemin pour s'entraîner à la magie. Du moins il espérait.

À peine la porte de la chambre ouverte, qu'il fît face à ses deux alliés, regards francs, et la vieille femme commença.

– Bonjour, tu as repris tes forces visiblement.

– Oui, répond le concerné simplement.

– Bien. Il y a quelque chose dont on veut te parler. À propos de l'académie. Tu es encore en âge d'y aller, et cela t'apportera multiple bénéfices dans ce monde, je me doute que tu le sais. On te propose donc de te présenter comme un jeune prodige dans la meilleur académie du royaume.

– Mais je crois que j'en ai assez bavé avec l'école de mon monde, fît Aaron, les yeux plisser comme pour comprendre une demande de suicide.

– De ce que tu connais, j'en ai effectivement l'impression. Mais ici, ce sera plus de l'amusement que du subit car tu n'a rien à apprendre. Tu pourras donc te faire plein d'amis, d'alliés plutôt, te rapprocher de la royauté, potentiellement avoir de meilleurs bases pour ne pas te faire des ennemies. Et tu pourra servir l'empire, protéger le peuple.

– Je vois bien l'idée. C'est visiblement tenable, l'amusement pourrait être présent, mais si les combats ont lieux comme je les ai vus dans ce ''rêve'', je risque d'être inutile…

– Un rêve, demanda le vieux mage.

– Et bien depuis peu, lorsque je dort, ma vision se retrouve transportée à des endroit presque toujours différents, et je vois certaines choses sans que je ne sache précisément ce que c'est. Et cette fois, j'ai vu un combat que même mes yeux ne pouvaient suivre.

– Voilà qui est intéressant. Peut-être bien que Dieu prépare tes futures combats, tes futures terrains, continua le Héro en retraite.

– Bon, puisque c'est comma sa, j'accepte, finit Aaron. Cela peut possiblement m'aider pour rentrer chez moi en plus.

– Bonne mentalité ! Je vais donc de ce pas te recommander à l'académie. Cette dernière phrase se suivit par la disparition total du mage, les molécules d'Endras se séparant et allant vers la royaume, passant par la fenêtre, ce qui étonnât le garçon.

*

En face de l'académie, le nuage d'Endras se regroupa et reconstitua le vieux corps. Il fallût cinq minutes pour arriver.

Il s'en alla après s'être présenté aux gardes tenant l'entrée de cette endroit unique. On dirait l'université de Vienne, à l'exception près qu'elle n'était pas entourée de bâtiments modernisés, mais au milieux d'Ursay. Un grillage faisait le tour du complexe, faisant un carré parfait autour de l'académie, avec quelques cinquante mètre d'écart des murs. Le nouveau venu entra.

Arrivé au bureau du directeur semblable, au couleurs et livres près, au bureau de Napoléon Bonaparte. La discutions commença, il le recommanda, et ce fût accepter de suite. Il devait entrer le Lundi qui venait, dans trois jours, donc.

*

De retour de son habituel série de combats, il était rentré. Accueillît par celui qui est allé le recommander, toute les modalités lui ont étés expliquées. Il lui fallait recevoir ici-même, à l'auberge, l'uniforme. Le jour d'arrivée, il devra se présenter au dortoirs, prendre les clés, puis il pourra aller en classe, qui lui sera attribuée à son arrivée.

Tout cela semble complexe mais c'est clair.

*

Pour l'instant, il devait dormir et se préparer pour y aller.