Ludolf avait travaillé dur sur sa réfutation académique de la corruption et des abus de pouvoir de l'Église. Si bien que son manifeste avait pris une ampleur encore plus grande que celui de Martin Luther dans la précédente vie de Berengar. Après avoir récolté des preuves des péchés de l'Église et de ses tentatives injustes de dominer les affaires séculaires, Ludolf les avait compilées dans une thèse bien écrite, contestant complètement l'Église et ses actions insidieuses.
Il avait passé près d'un mois à rassembler ce dont il avait besoin dans le but de réformer l'Église pour le mieux. Maintenant qu'il avait terminé la rédaction de son document, le prêtre l'apporta à l'attention de Berengar pour examen et modifications éventuelles.