Cerné par l'ennemi II

La nuit tomba bientôt, remplissant le ciel de ténèbres, et l'odeur de la mort imprégnait le petit village agricole où Andreas et ses hommes avaient établi leur ligne de défense. Ils étaient entourés par une armée de plus de mille Soldats italiens, avec moins de cent hommes capables à leur disposition.

Les Jaegers autrichiens manquaient de munitions, et la plupart d'entre eux étaient blessés à divers degrés. Une chose était certaine : s'ils restaient dans ce village, il deviendrait leur tombe. Andreas était plongé dans une discussion sérieuse avec ses deux Lieutenants, essayant de mettre au point un plan de survie.

L'un des hommes en question tenait son casque dans une main et son fusil Jaeger en bandoulière sur l'épaule. Son visage était couvert de terre alors qu'il exposait une idée aux deux autres officiers.