Après ce jour où Berengar et son Armée avaient repoussé la charge Italienne, les choses reprirent leur rythme habituel. La pluie finit par se dissiper, et bientôt les tranchées boueuses sèchèrent, permettant aux soldats autrichiens encore équipés de fusils à silex d'utiliser correctement leurs armes.
La pluie fut remplacée par la neige lorsque l'hiver tomba bientôt sur la ville de Florence, et ainsi l'Armée Autrichienne, désormais vêtue de ses habits d'hiver, peinait chaque jour à endurer le froid et la vie dure d'un long siège en vivant dans une tranchée.
Un autre mois passa, et pendant cette période, les Italiens avancèrent rarement ; malgré cela, l'Armée Autrichienne continua de bombarder la ville chaque jour pendant plusieurs heures d'affilée. Sans les routes de ravitaillement établies par Berengar et les villes désertes derrière lui, il aurait eu du mal à maintenir le nombre de projectiles nécessaires pour pilonner la ville.