Elle s'agenouille alors sur le sol et commence à ramasser mes cheveux coupés dans sa paume. Eh bien, je lui ai dit qu'elle pouvait les garder, mais je ne pensais pas qu'elle collecterait littéralement chaque fil…
Je la regarde fouiller pendant cinq bonnes minutes avant qu'elle ne redresse finalement son dos. Les poches de sa tenue civile sont toutes remplies à ras bord de mes cheveux jetés… Ses vêtements gonflés sont un spectacle bizarre, c'est le moins qu'on puisse dire, une fois que l'on connaît leur contenu.
Eh bien, comme j'aime à dire, fais ce qui te plaît, ma chère Fleur. Si cela la rend heureuse, quelle raison ai-je de m'y opposer ?