Quinlan resserre son emprise autour de ma gorge pendant un moment avant de me relâcher complètement. Je tombe à genoux comme une marionnette dont on a coupé les fils et je reprends goulûment ma respiration pour remplir mes poumons vides tout en massant mon cou. Ça fait mal…
Et pourtant je souris toujours ? J'ai apprécié cet échange même si j'ai été complètement dominée ?
Comment ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ?
Mon étrange assaillant me tend une main, et je le saisis à contrecœur pour me laisser tirer vers le haut. « Tu as ce qu'il faut pour être une bonne combattante, Lucille. » Il déclare, puis ajoute avec un sourire moqueur, « cependant, tu sembles aboyer au mauvais arbre, comme ton mari embrume-froufrous. »
Je ne peux m'empêcher de rire. « Hehehe ! Oui, peut-être que je suis vraiment stupide… Mais cet échange… C'était tellement amusant ! Comment suis-je censée revenir à faire la vaisselle après ça ?! »