"Tsk. Comment se fait-il que toi et Fabian pensiez de la même manière ?" Sam cliqua de la langue, comme si c'était aussi la raison de Fabian.
C'est parce que nous te connaissons trop bien, mon seigneur.
Mais je l'ignorais. Je concentrai mon esprit sur le sujet.
"Alors, pourquoi Monsieur Fabian n'est-il pas devenu chevalier ? Même si cela ne l'intéressait pas, pourquoi a-t-il choisi d'être un majordome ?" demandai-je, intriguée.
Je ne m'attendais pas à entendre une telle révélation sur notre majordome. Avec la manière dont Fabian souriait poliment, il était difficile de le voir sous un autre jour.
Eh bien, maintenant que j'y pensais, il était déjà difficile de lire les pensées de Monsieur Fabian. Son sourire ne changeait jamais ; qu'il creusait une tombe, piétinait une main pour la renvoyer dans la tombe, ou me servait du thé.
Le sourire de Fabian était toujours le même ! Un frisson soudain parcourut ma colonne vertébrale.
Aurait-il le même sourire s'il me tranchait la gorge ?