Chapitre 4: Un passé ardue

Une partie de mes souvenirs revient en les voyants, je me rends compte que j’ai vécu cette situation. Plus précisément, je me suis endormie dans cette ruelle car j'étais trop fatigué. En me réveillant sans prévenir, ils m'ont frappés et m'humilier avant de me faire jeté dans les ruelles avec leur regard de dégout. 

Les gens profitent de leur vie ignorants que dans quelques années cette utopie sera terminée. La guerre avant celle de ces divinités qui fera rage décimera plus de la moitié de l'humanité. Mais après leur apparition ont apportés la fin.

Repensant à tout cela, une chose me vient en tête. Qui sont-ils et pourquoi voulaient ils conquérir ? Ces questions se bousculent dans ma tête car je manque beaucoup d'information.

Au même moment, une voix familière m'appelle dans les ruelles:

-Kusagana. 

Des émotions contradictoires s'installe mais je décide de retenir mes larmes il faut que je sois fortes. Même si mon cœur se brise parce que c’est sa version juvénile et non l’actuel. Julius...il se penche vers moi avec un grand sourire:

-Toujours entrain de pleurée, il faudrait que t’arrête un jour.

Sa personnalité joyeuse et franche est comme je m'en rappelle. Mais très vite un regard inquiet apparait sur son visage:

-Enfin bref, le boss t'appelle.

Le Boss ?! Je ne me rappelle plus vraiment qui est cette personne mais vu son regard je dois être inquiet. Le suivant pendant une bonne dizaine de minutes avec tout les raccourcis avant qu'on s’arrête devant une maison et il me dit:

-On est arrivé par contre, il n’est pas content car tu n'es pas rentré hier soir

Il est inquiet pour moi et ça se voit, alors j’essaie de me souvenir de cet événement mais je n’arrive pas après 200 ans d'existences sur les 4000 ans. Bon en soit j’ai oublié une partie de mon enfance et c’a va surement me revenir. Alors une question me vient:

-Le Boss il s’appelle comment déjà ? 

Il me regarde et soupir comme si ce n’est pas la première fois que je demande:

-Ce n’est pas la première fois Kusa..., je le répète encore une fois son nom c’est Docs même si c'est bizarre en vrai.

Docs…rien que ce nom provoque une peur dans mon corps mais qui est il déjà ? Je rentre dans un bâtiment qui n’est pas délabré.

En rentrant davantage en profondeur dans cet édifice des vieux souvenirs ressurgissent mieux cerner le contexte où je suis. J’arrive devant une porte qui doit être le grand salon de mon ancien passé. J’ouvre la porte et un grand salon, je constate que pas mal de personnes assis sur un canapé lisant un livre ou papote, ça doit être son lieu de travail.

Le point positif c’est qu’ils ne prêtent pas attention aux enfants orphelins mais c'est trop beau pour être vrai sinon je m'en serai rappeler. Une personne vient vers moi et Julius et dit:

-Kusagana, enfin tu est là. Le Docs veut te voir.

Il regarde Julius avec nonchalance:

-Et merci Julius de l’avoir trouver, et si possible va au même endroit qu’elle.

Je fixe cette personne et elle nous fait un grand sourire, contente. Ce sourire n’est pas honnête et il est assez bizarre. 

Une fois devant, Julius me regarde de droite à gauche avec un air inquiet et dit:

-Je ne peux rien faire pour toi à part espérer qu’il te tape pas trop.

En ouvrant complètement la porte qui grince. ca attire l’attention de d'une personne. En regardant autour de lui les autres enfants semblent terroriser par sa présence. Et tout de suite, je me fige car mon corps tremble. 

Le Docs, je me rappelle maintenant. Ce dernier est connu car c'est son père qui est mort qui a fondé l'orphelinat à cause de la guerre d'il y a deux siècles auparavant. Mais ca personne ne le sait actuellement sauf lui.

Du aux nombre croissant des orphelins, il a décidé de fonder cela car cela lui apporterait de l'argent et cela à marché. Vu le bâtiment, on doit être vers le début de son apogée avant que son déclin ne commence lentement.

Mais malgré tous les points positifs cités, il est pas vraiment respectueux. Plus précisément, il fait de la maltraitance d’enfant. Par la maltraitance, beaucoup d’entre eux vont disparaître avant d’être retrouvé inerte ou déjà décomposés dans un dépôt de cette orphelinat.

S’avançant vers moi tranquillement il fait signe aux enfants de fermer la porte. Au moment ou la porte c’est fermer son doux visage disparue laissant place à de la colère, il me pose cette question:

-Kusagana...est ce que le paquet à été déposé au bon endroit et sans qu'il soit abimé ?

Le paquet ? Qu’est ce qu’il me raconte la ? Je ne me rappelle pas très bien si j'ai réussi ou pas et la seule chose dont je m’en souvienne est le client qui me frappe.

De ce seule élément je lui répond:

-Oui je l’ai déposé au bon endroit pourquoi ?

Il me frappe soudainement sans prévenir, cet enfoiré ne déconne pas, le pire il à mis du mana. Le souffle coupé, je cherche à respirer car les dégâts sont importants. Bien sûr je ne peux pas avoir d'aide car ils sont inaptes à le faire et leurs regards le montre. Il continue de se défouler:

-Elle dit qu’elle à réussi.

Sa voix irrité se transforme en cri qui résonne dans toute la pièce:

-MAIS POURQUOI LA MARCHANDISE A ÉTÉ ENDOMMAGÉ ? HEIN ? LE CLIENT QUI A REÇU TON COLIS C’EST PLAINT AVANT DE COUPER SON ABONNEMENT. DONC LA JE PERD UN AUTRE ET C’EST PAS LA PREMIÈRE FOIS QUE TU FAIS CA. 

Sa nature émotive et colérique n'hésitant pas à frapper plus jeune que soit sans retenue, apparait. Je sais comment j'ai fini la dernière fois sur cette conversation.

Le début de ma conversation avant de régresser fut la même. Et vers la fin, je perdis connaissance me laissant à moitié morte, pour que je me réveille une semaine plus tard.

Pour ce qu'il ma fait et tout le calvaire inhumain subi durant cette partie de mon enfance, ma haine envers cette personne se réveille. Changer cette destin qui m'attend c'est la chose à faire sinon je risque de prendre du retard.