Ta petite amie !

L'homme essaya de se retourner, mais il ne pouvait pas bouger. Son corps semblait s'être transformé en pierre, une sueur froide coulant sur son visage. Son instinct lui criait que la faux de la Mort était déjà sur sa gorge.

« Vous... qui êtes-vous ? Vous voulez de l'argent ? Je... je peux vous donner de l'argent. » L'homme parla, tentant de bouger ses doigts pour atteindre l'arme à son côté.

« Kékéké... De l'argent ? Penses-tu que j'ai besoin de ces déchets ? » Une voix emplie de malveillance et de distorsion résonna dans la pièce, ressemblant aux voix de centaines de personnes jouant sur une radio, déformées et contre nature.

La voix remplit l'homme de terreur, le faisant trembler. Il voulait crier, mais aucun son ne sortait. Après avoir parlé, il réalisa que sa bouche était aussi figée que si elle avait été scellée.

« Kékéké... Peur, désespoir, tremble devant la mort, humain stupide. »

« Avide, égoïste—c'est tout ce que tu es. La mort est la punition pour ce que tu as fait. »