« Pardonnez-moi, mon seigneur ? Vous souhaitez que nous quittions notre foyer pour défendre vos terres à votre place ? » Le ton de Kazak était plus tranchant qu'il ne l'avait voulu.
« Comment oses-tu questionner ton seigneur ? As-tu oublié ta place, homme-bête ? » rugit l'arrogant chevalier.