Le lendemain matin, Khan eut enfin l'occasion d'essayer les techniques du Faucheur Divin. Il avait maintenant le couteau émoussé de grade nul prêt pour son entraînement, et son corps avait même dissipé la plupart de sa fatigue après avoir passé toute une nuit à dormir. Rien ne pouvait l'empêcher d'aborder son second art martial.
De multiples désirs se mêlaient dans l'esprit de Khan tandis qu'il essayait de mémoriser les techniques initiales du Faucheur Divin. Il ressentait des sentiments profonds et tendus liés à la crise imminente, mais aussi une simple excitation à l'idée d'obtenir sa première arme magique de première qualité.
Le Faucheur Divin n'utilisait qu'une seule arme, ce qui faisait des deux couteaux de grade nul de Khan de simples outils temporaires. Leurs améliorations ne les rendaient même pas immunisés contre les effets secondaires de l'art martial. Des dommages s'accumuleraient inévitablement dans leur structure, donc les alterner prolongerait leur durée de vie.