S'il te plaît, Cher Fils
« Anhhh~ N-Non, Léo... S'il te plaît, ahhh~ J'allais justement les mettre... N-Ne pelote pas les fesses de ta Mère comme ça... Ce n'est pas bien, » gémit Elaine, mais ses mains résistaient à peine. Chaque fois que les mains de Léon s'enfonçaient dans ses fesses rebondies, ses genoux faiblissaient, et le plaisir remontait le long de sa colonne vertébrale comme un éclair.
Clac !
Léon lui donna une ferme claque sur les fesses, souriant quand elle sursauta. « Ne mens pas, Maman. Tu as laissé tomber ta culotte parce que tu voulais ça... Tu attendais de te faire baiser comme une petite salope, n'est-ce pas ? »
Les lèvres d'Elaine tremblèrent, son souffle sortant en courtes bouffées brûlantes. « A-Anhh~ Je ne suis pas... P-Pas comme ç— »
« Si, tu l'es, » coupa Léon, sa voix sombre et pleine de chaleur. Sa main se déplaça vers sa poitrine, ses doigts glissant sous le fin tissu de sa chemise de nuit, pétrissant ses seins nus avec des pressions lentes et avides. Ses tétons inversés jaillirent, durs et sensibles sous son toucher.
Presssion...
« A-Ahhh~ Léo... C'est mon... mon téton...! » haleta Elaine, ses cuisses se serrant tandis qu'il taquinait le bourgeon sensible, le roulant entre ses doigts.
« Tes tétons inversés supplient déjà qu'une bouche les suce, » grogna-t-il. « Tu sais ce que tu es, Maman ? Une salope dégoulinante et obscène déguisée en mère... Et maintenant je t'ai démasquée. »
Sa queue, dure comme pierre et palpitante, se pressait entre ses fesses. Elaine gémit alors qu'elle frottait contre sa peau douce, sa taille augmentant lentement.
« Anhh~ L-Léo, il y a... quelque chose qui me pique... » gémit-elle, sachant parfaitement ce que c'était.
« Tu as raison. C'est ma bite. Sens-la. » Il saisit sa main et la pressa contre son sexe à travers son pantalon. Ses doigts l'entourèrent par instinct, et elle se figea quand une pulsation chaude vibra sous sa paume.
Goutte
Un bruit humide résonna en bas, et Léon baissa les yeux, souriant narquoisement. « Tu trempes tout le sol Maman, tu sais ? »
Le cœur d'Elaine s'emballa quand il glissa sa main le long de sa cuisse et effleura sa fente ruisselante. La chaleur était insensée, ses lèvres déjà gonflées et trempées. Il remonta ses doigts mouillés devant son visage rougi et les écarta, révélant le fil collant de sa cyprine.
« Regarde ça, Maman... Tu coules comme une putain en chaleur. »
'Ahnn~ Je n'en peux plus... Je mouille tellement juste parce qu'il me parle salement. Je suis une Mère sans vergogne... Quel genre de femme prend son pied comme ça avec son Fils ?!
Même mon mari ne me parlait pas comme ça. Il me baisait juste pendant cinq minutes et c'était tout, mais lui me rend si chaude et j'ai honte de ressentir tant de plaisir rien qu'avec ses doigts.' pensa Elaine, tremblante de honte.
Il pinça ses deux tétons, maintenant complètement exposés et luisants, les tirant brutalement.
« Ça fait combien de temps que tu n'as pas eu une vraie bite dans cette petite chatte mature, Maman ? » chuchota Léon à son oreille tandis que ses mains parcouraient librement son corps—agrippant ses fesses douces et rondes et malaxant ses seins comme s'ils étaient sa propriété.
« J-Je ne me souviens pas... » gémit-elle, sa voix tremblant de plaisir et d'embarras. « Après la mort de ton père... J'ai juste commencé à... Anhh~ commencé à me toucher... Ahn~ mais même ça s'est estompé avec le temps. »
Léon sourit, frottant sa queue dure contre sa chatte ruisselante à travers le fin tissu. « Donc tu as été affamée d'une grosse bite... tout ce temps, n'est-ce pas ? »
Elaine frissonna alors que ses jambes menaçaient de céder, mais elle ne dit rien.
Léon se pencha vers son oreille, sa voix basse et obscène. « Si tu dis... 'Baise ma chatte, mon cher Fils,' maintenant et que tu entres dans cette chambre—montre-moi ce gros cul rebondissant et cette chatte qui coule. »
Elaine se mordit la lèvre tandis qu'elle tremblait sous l'effet des paroles obscènes que Léon murmurait à ses oreilles.
« Si tu fais ça, » continua-t-il d'une voix sombre, « je finirai mon repas, j'entrerai nu... je tomberai à genoux entre ces cuisses tremblantes... et je lécherai chaque goutte de ton jus de chatte obscène. Je passerai ma langue sur ton clitoris de salope jusqu'à ce que tu essaies de crier mais tu ne pourras pas crier parce que ta fille et sa fille dormiront juste à côté de nous.
Ensuite je baiserai ta chatte jusqu'à ce qu'elle se souvienne de la forme de la bite de ton fils. » Léon parla tout en saisissant son clitoris et le tirant vers le haut avec son majeur et son index.
« Hiikkk~! » Un gémissement désespéré s'échappa de la bouche d'Elaine alors que Léon glissait deux doigts le long de ses lèvres trempées. Son corps tressaillit et s'arqua. Son orgasme la frappa comme la foudre—jaillissant chaud et désordonné le long de ses cuisses.
Ses genoux fléchirent et elle s'agrippa à la porte de la cuisine pour rester debout.
« Tu as joui juste parce que j'ai murmuré des choses vraiment mauvaises et obscènes à ton oreille ? Je ne pense pas que ce soit approprié pour une mère.
Tiens, sens ta cyprine chaude. » Léon parla avec un sourire maléfique en frottant ses doigts couverts de cyprine sur ses narines.
« J-Je... Je dois y aller... » souffla-t-elle, complètement étourdie, la chaleur irradiant de son visage.
Elle se retourna et souleva l'ourlet de sa chemise de nuit, révélant tout—ses fesses nues frémissant à chaque pas, sa chatte palpitant et coulant le long de ses cuisses, laissant une traînée luisante sur le plancher en bois.
Juste au moment où elle atteignait l'embrasure de la porte, elle s'arrêta et regarda en arrière avec des yeux vitreux.
« S-S'il te plaît... Baise ma chatte... Mon cher Fils, » murmura-t-elle d'une voix basse, mais Léon l'entendit clairement dans le silence de la nuit.
Puis, sans un mot de plus, elle entra dans la chambre—laissant la porte ouverte, ses empreintes de pas humides marquant le sol.
« Bon Appétit... Hehehe » dit Léon alors qu'il s'asseyait immédiatement à table et commençait à manger tandis que sa queue palpitait en pensant aux différentes choses qu'il allait lui faire.
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